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L’Homme c’est ELZEARD BOUFFIER, un anti-héros qu’il faut absolument présenter à la jeunesse d’aujourd’hui. Il est la preuve que la dimension humaine suffit parfois à engendrer des réalisations extraordinaires.

Au cours de ses promenades en Haute Provence, Jean Giono a un jour rencontré un berger solitaire et paisible qui plantait des arbres, des milliers d’arbres. Giono nous décrit un personnage d une générosité, d’une constance et d’une grandeur d’âme exemplaires.

Tout au long de sa vie, il n’a pensé qu’au bonheur des autres : de ceux qui viendraient un jour habiter cette contrée déserte d’où même l’eau s’était retirée. Il a ainsi jour après jour créé une immense forêt et rendu la vie à ce pays aride. Personne n’a jamais su qui avait planté ces arbres.

Elzeard Bouffier est resté dans l’anonymat le plus complet. Sa plus grande récompense étant de faire renaître la vie.

A l’heure où tous les médias nous abreuvent d’informations négatives, où les pays « développés » s’étouffent par égoïsme et indifférence, cette aventure humaine est un contre-poids positif.

A l’ heure où les hommes politiques, de droite ou de gauche reconnaissent enfin l’urgence de l’écologie pour sauvegarder la planète, nous éprouvons le besoin de faire entendre la voix de Giono. Dans toute son oeuvre la nature tient une place essentielle. il a toujours eu conscience de l’importance de « l’écologie ».

La forêt est nécessaire à toutes les espèces vivantes. Il est indispensable de la protéger quand on sait qu’il faut cent ans pour la refaire.

Son plus cher souhait : « Faire aimer l’arbre ou plus exactement, Faire aimer à planter des arbres » .

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Revue de Presse

"C’est un des textes dont je suis le plus fier." Jean Giono

Le Canard Enchaîné : « Bon Dieu, qu’est-ce que ça fait du bien ! » Bernard Thomas

Le Monde : « Jean-Claude Broche nous dit les phrases aveuglantes de beauté de Giono ; et il est simple et juste. Les paroles alternent avec des voix proches de Giono, celle de Bach, Vivaldi, Mozart…Belle idée. » Michel Cournot

Le nouvel Observateur : « Une heure d’évasion. » M. Fary

VSD : « C’est magnifique ! Entrecoupé de morceaux choisis. » F. Halimi

Figaroscope : « Une heure touchante, généreuse, utile… » JL Jeener

Le journal du Dimanche : « Généreux et porteur d’espoir en l’homme. Un beau message. »

Le Journal de l’île :« Subtil musicien que Daryoush Tari (au santour et au zarb) pour accompagner en beauté la musique des mots de Giono. »

Revue de Presse

"C’est un des textes dont je suis le plus fier." Jean Giono

Le Canard Enchaîné : « Bon Dieu, qu’est-ce que ça fait du bien ! » Bernard Thomas

Le Monde : « Jean-Claude Broche nous dit les phrases aveuglantes de beauté de Giono ; et il est simple et juste. Les paroles alternent avec des voix proches de Giono, celle de Bach, Vivaldi, Mozart…Belle idée. » Michel Cournot

Le nouvel Observateur : « Une heure d’évasion. » M. Fary

VSD : « C’est magnifique ! Entrecoupé de morceaux choisis. » F. Halimi

Figaroscope : « Une heure touchante, généreuse, utile… » JL Jeener

Le journal du Dimanche : « Généreux et porteur d’espoir en l’homme. Un beau message. »

Le Journal de l’île :« Subtil musicien que Daryoush Tari (au santour et au zarb) pour accompagner en beauté la musique des mots de Giono. »

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L’homme qui plantait des arbres

de Jean Giono

Mise en scène Marie-Françoise et Jean-Claude Broche

Avec Jean-Claude Broche, Daryoush Tari (musique)

L’Homme c’est ELZEARD BOUFFIER, un anti-héros qu’il faut absolument présenter à la jeunesse d’aujourd’hui. Il est la preuve que la dimension humaine suffit parfois à engendrer des réalisations extraordinaires.

Au cours de ses promenades en Haute Provence, Jean Giono a un jour rencontré un berger solitaire et paisible qui plantait des arbres, des milliers d’arbres.

Giono nous décrit un personnage d une générosité, d’une constance et d’une grandeur d’âme exemplaires. Tout au long de sa vie, il n’a pensé qu’au bonheur des autres : de ceux qui viendraient un jour habiter cette contrée déserte d’où même l’eau s’était retirée. Il a ainsi jour après jour créé une immense forêt et rendu la vie à ce pays aride.

Personne n’a jamais su qui avait planté ces arbres. Elzeard Bouffier est resté dans l’anonymat le plus complet. Sa plus grande récompense étant de faire renaître la vie.

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Crédits

Conception, réalisation et développement : artaban

Graphisme : Pierrick Biovir